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L'idée d'un dessin si simple qu'il devient un SIGNE, une lettre, un pictogramme...
Retenir et exprimer l'essentiel : un cône tronqué sur sa pointe, en rotation.
La VITESSE.
En contre-plongée, pour plus de majesté...
Un pinceau. Ça peut aller très vite, comme dans la calligraphie.
J'imagine un idéogramme chinois. Idéogramme signifie « écrire une idée ».
Le moins de coups de pinceau possible. Un carrousel en 8 traits...
Encre de Chine.
Pinceau brosse n°20.
Bloc à dessin A3.
50 feuilles..
Mes coups de coeur. Mixage. J'aime bien le petit drapeau. Bleu comme le ciel, dans un film en noir et blanc..
Charlie Chaplin est passé par là. Je me souviens de la plus incroyable attraction trente ans avant :
le cinématographe.. les Frères Lumière, Georges Méliès...

Des paraboles, des histoires, le cinéma, naturellement.
Encore plus loin dans le temps, le zootrope : des images qui prennent vie, des carrousels qui clignotent. Ne reste plus qu'à ajouter quelques ampoules, c'est la fête foraine qui nous enivre...

Et la guirlande se désintègre. Les lumières s'envole..
L'Ecole qui tourne, les ampoules-idées dans les airs, le vent dans le pavillon, comme sur un bateau qui prend le large, vers de nouvelles aventures..
Un petit point blanc sur cette silhouette d'âne (c'est celui du Bon Samaritain).

Silence, on tourne.
Moteur, Action !..
Un élève a écrit « Carrousel » au crayon bleu, comme dans un cahier : rapidement mais bien lisible. Il est rigolo à écrire, ce mot : il avance, tout en ronds et se termine avec une bouclette...
Trois petits cercles à l'aquarelle, légère et aérienne pour les halos qui s'échappent.
Tout simplement. Un modeste festival, vivant, habillé d'Art Nouveau-Déco, tout simple, à l'échelle de notre Ecole, égraine ses histoires dans les ruelles du village(48)...
Hmm... ça commence à me plaire.

Je me réjouis d'y faire un tour...
L'idée d'un dessin si simple qu'il devient un SIGNE, une lettre, un pictogramme...
Retenir et exprimer l'essentiel : un cône tronqué sur sa pointe, en rotation.
La VITESSE.
En contre-plongée, pour plus de majesté...
Un pinceau. Ça peut aller très vite, comme dans la calligraphie.
J'imagine un idéogramme chinois. Idéogramme signifie « écrire une idée ».
Le moins de coups de pinceau possible. Un carrousel en 8 traits...
Encre de Chine.
Pinceau brosse n°20.
Bloc à dessin A3.
50 feuilles..
Mes coups de coeur. Mixage. J'aime bien le petit drapeau. Bleu comme le ciel, dans un film en noir et blanc..
Charlie Chaplin est passé par là. Je me souviens de la plus incroyable attraction trente ans avant :
le cinématographe.. les Frères Lumière, Georges Méliès...

Des paraboles, des histoires, le cinéma, naturellement.
Encore plus loin dans le temps, le zootrope : des images qui prennent vie, des carrousels qui clignotent. Ne reste plus qu'à ajouter quelques ampoules, c'est la fête foraine qui nous enivre...

Et la guirlande se désintègre. Les lumières s'envole..
L'Ecole qui tourne, les ampoules-idées dans les airs, le vent dans le pavillon, comme sur un bateau qui prend le large, vers de nouvelles aventures..
Un petit point blanc sur cette silhouette d'âne (c'est celui du Bon Samaritain).

Silence, on tourne.
Moteur, Action !..
Un élève a écrit « Carrousel » au crayon bleu, comme dans un cahier : rapidement mais bien lisible. Il est rigolo à écrire, ce mot : il avance, tout en ronds et se termine avec une bouclette...
Trois petits cercles à l'aquarelle, légère et aérienne pour les halos qui s'échappent.
Tout simplement. Un modeste festival, vivant, habillé d'Art Nouveau-Déco, tout simple, à l'échelle de notre Ecole, égraine ses histoires dans les ruelles du village(48)...
Hmm... ça commence à me plaire.

Je me réjouis d'y faire un tour...

Un festival pédagogique...

... parce que, avant toute chose, nous sommes une école et qu'il s'agit d'apprendre. Apprendre grâce à des projets, car ceux-ci favorisent l’acquisition de connaissances par l’expérience, permettent de se confronter à une situation authentique, créent un lien avec le monde réel, donnent du sens aux apprentissages, apprennent à confronter les échecs, favorisent la motivation et l’engagement. Dès l'origine qui remonte à 2023, le projet pédagogique festival avait pour vocation d'être comme une voile, pour le navire école, soit de la tirer en avant et plus loin. Nous nous réjouissons de le montrer concrètement à la fin mars.

Un festival artistique...

... au tournant du quart de ce siècle bien particulier qui reste à construire. Si beaucoup s'accordent pour dire que notre monde est volatil, incertain, complexe et ambigu, bien peu sont ceux qui ont encore une espérance à formuler. Dans ce contexte, il est utile de se souvenir que l'expression artistique a, dans l'histoire, souvent été le préalable à la réflexion intellectuelle, précurseur des mutations de société. Quoi de mieux pour s'en souvenir et le cultiver que de le mettre en pratique.

Un festival d'arts vivants...

... pour célébrer la créativité (qui n'est pas qu'artistique), la diversité, explorer de nouvelles formes d'expression, élargir l'horizon et apprendre à raconter des histoires. Des histoire qui font voyager, qui font réfléchir, qui donnent envie de se surpasser et de changer le monde. Des arts vivants, parce que nous voulons former une génération de jeunes capables de monter sans crainte sur la scène du monde pour délivrer leur message.

Un festival historique...

... dont la décoration et l'ambiance du festival seront consacrés aux années 20. Il y a 100 ans, notre monde occidental vivait une mutation majeure à bien des niveaux, de la politique aux arts en passant par la technique. Ces années furent, un peu folles, mais aussi décisives à bien des égards pour la suite d'un siècle qui n'a pas manqué de défis. Savons nous lire l'histoire, en retenir les leçons, discerner celle qui se joue aujourd'hui ? Savons-nous seulement ce que cela signifie que de construire pour dans 100 ans ? En 2025, notre école marque l'histoire et nous apportons notre pierre à l'édifice.

Un festival festif...

... Joli pléonasme, car, comme le veut l'étymologie, un festival est un lieu de fête. Faire la fête n'a rien d'anodin. C'est se réjouir du chemin parcouru, des succès remportés, des défaites digérées. Faire la fête, c'est s'arrêter pour prendre le temps de savourer et de dire merci à tous ceux et celle qui ont permis que l'aventure ait lieu. Célébrer c'est aussi se souvenir que notre petite histoire n'est jamais que quelques lignes, et combien savoureuses, dans celle que Dieu écrit avant tant de classe et de grandeur.

Un festival de paraboles...

... pour raconter des histoires qui ont du sens, qui communiquent de la sagesse et nous aident à vivre mieux au jour le jour. De manière parfois drôle, un peu sévère, souvent énigmatique, ces courts récits de la vie réelle sont un formidable héritage de notre culture qui éclairent nos vies, nos choix et notre éthique. La Bible en contient plus de 40 ; nous n'en présenterons que quelques unes. Puissent-elles nous inspirer !

Un festival ouvert...

... pour nous permettre d'inviter, d'inspirer et de partager ce qui fait le coeur de notre projet avec la ville où nous sommes : nous formons des porteurs d'espérance. Que ce soit lors des scolaires du vendredi ou le samedi, nous espérons autant accueillir des spectateurs de divers horizons que de faire retentir des rires sur toute la ville. C'est la vocation de notre école que de servir notre cité et sa région. Comme l'ouverture ne va pas de soi, il faut la cultiver.

Un festival stratégique...

... car lors des réflexions participatives qui ont présidé à la naissance de l'école, il était déjà question de créer des spectacles pour permettre d'apprendre en lien avec la vie réelle. Dix années plus tard, nous mesurons le chemin parcouru, mais aussi combien il est intéressant de créer dès le début à partir d'une vision claire de ce qu'il pourrait y avoir à la fin ; quitte à devoir s'adapter en chemin aux aléas de la vie : Deux choses que nous avons apprises à faire depuis 2015.